Le journal du Cercle des Braves

Vous aurez ici les résumés des différents scénarios vécus par le Cercle des Braves.

Evidemment ce n'est pas moi qui vait m'y coller.

Si vous voulez vous occuper de l'un d'eux, précisez le ici d'abord puis envoyez moi le résumé par MP. Un petit bonus d'xp sera accordé pour chaque résumé bien entendu. (Et si vous êtes ultra motivé, pensez à en laisser aux copains quand même )

- "O-RANGE-RAIIIIIE"
- "Quoi ?'
- "Tout commença à l'Orangeraie"
- "Ah bon.. okay.. mais après ?"
- "C'est une ville commerciale située sur un plateau... et donc.."
- "Ah bon... un plateau ?"
- "Oui.. enfin.. un plateau qui est au beau milieu des plaines.."
- "Des plaines ?"
- "Des plaines ouiiiii.. bordées par des forêts noires et donc..."
- "Beuh, des forêts noires ?"
- "MAIS OUI BORDEL ! Des forêts noires qui formes la frontière naturelle entre les terres abyssale et l'Empiiiiiiire... Je me suis un petit peu éloigné du sujet là..."
- "C'est pas clair ton truc... On en est où ?"
- "Ah ?... On en est qu'on en est à L'Orangeraie"
- "Ah..."
- "C'est dans la taverne du voyageur..."

---------

Bref je fais l'intro 

Après mon envolée lyrique honteusement subtilement recopiée et remaniée, voici comment tout débuta :
Ça vous va si ça a la forme d'un journal de bord ? Au pire je vous laisse pas le choix   

Jour 0 : Une journée avant le début des événements
Écrit par Laetie

Orangeraie est bien calme aujourd'hui. Situé au Nord-Est de l'empire, la ville jouit d'un commerce florissant tout au long de l'année, notamment dû à l'exploitation du fruit qui a donné le nom à la ville. La renommé des oranges produites est grande et en soit, cela nous évite bien des problèmes d'attaque de bandits ou autre. 
La seule ombre sur ce magnifique tableau serait la proximité avec la Forêt Noire à l'Est qui, dit-on, serait la frontière avec les terres abyssales. Mais cela fait des siècles que rien ne soit arrivé, grâce à l'impératrice. Gloire à elle pour la paix que nous vivons.
Je fini à peine mon service dans la milice, je suis étrangement fatiguée. Après une bonne nuit de repos, ça ira mieux.
Demain sera à nouveau une journée calme, j'en serai presque à vouloir qu'il arrive un malheur pour pimenter un peu mon existence.

Jour 1 : La pourriture et son poursuivant.
Écrit par Laetie

Alors que j'attaque mon service, les haut-gradés nous rassemble. Un soldat de l'empire est sur le point d'arriver. 
Quelle excitation ! Un soldat aux ordres de l'impératrice ! 

C'est assez impressionnant de le voir arriver en armure intégrale. A vu d’œil, elle doit peser au moins dans les 50-60Kg et il se déplace comme si rien ne le gênait. 
La différence entre l'armée et la milice est clairement flagrante, il va falloir que je m'entraîne dur pour espérer ne serait-ce qu'effleurer cette puissance.
Le soldat n'arrive pas seul. Il est accompagné d'une vingtaine d'homme, tous ont le visage fermé.
A peine arrivé au village, l'homme fait réunir tout le monde sur la place principale.
Il serais à la recherche d'un homme dangereux et ses traces l'ont mené dans les environs.
Le maire lui explique qu'à part des marchands, il n'y que très peu de passage et que si un homme aussi dangereux était dans les environs, il se cacherait sans doute dans la forêt.
Intrigué, le soldat demande à ce qu'une équipe explore les abords de la forêt et de revenir lui faire un rapport.

Alors qu'une équipe se forme parmi les miliciens, le soldat commence à choisir 5 personnes parmi la foule.
Je suis la dernière a être choisie et notre groupe est formé.
Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?! Parmi nous, je suis la seule à faire partie de la milice, seule force en présence dans la ville, et il y a même un clodo dans le tas... Je ne comprend tout simplement pas...
Mais ce n'est pas à moi de décider ni même de demander pourquoi. Étrangement, ni le maire ni même mes supérieurs ne rétorquent quoi que ce soit. Nous partîmes donc en direction de la forêt pour commencer nos recherches.

Sur place, nous n'avons rien trouvé aux abords de la forêt aussi nous décidâmes de nous enfoncer plus loin dans les profondeurs obscures.
Là, nous ne trouvons un bâtiment en ruine, peut-être une ancienne église. Le bâtiment est tellement abîmé que nous pouvons voir à l'intérieur depuis notre position. C'est ainsi que nous avons découvert une personne, une femme, entourée par plusieurs squelettes bien décidés à lui faire la peau. Nous nous sommes donc séparé en deux groupes pour lui venir en aide.
Cependant quelque chose de complètement absurde se passa lorsque nous chargeâmes. Notre force fut décuplé, nos coups étaient si dévastateurs qu'un coup d'épée suffisait à terrasser l'ennemi. Une de nos flèches en tua même 3 d'un coup. Un sacré coup même je dois dire.

Malgré le fait que nous venions de la sauver, la jeune femme paraissait sur ses gardes, sûrement à cause de l'aura qui crépitait autour de nous tous.


LA SUITE DEMAIN

*petit effet de voix qui se perd dans la nuit..*
LA SUITE DEMAIN... DEMAIN.. DEMAIN..

Jour 1 (suite) : La pourriture et son poursuivant.
Écrit par Laetie


Malgré sa méfiance, son attitude laissait paraître que ce n'était pas la première fois qu'elle voyait cette aura. 
Étrange.
On se présenta à elle et elle fit de même. 
Elle s'appelle Kurinin et est à la recherche d'un homme qui correspond étrangement à la description de l'homme que nous recherchons aussi.
Compte tenu des circonstances et la venue prochaine de la nuit, nous avons décidé de retourner en ville avec notre invitée pour faire un point avec le soldat.
Cette aura cependant perdure, cela aura au moins le bénéfice d'éclairer notre route pour le retour.

Alors que nous quittons le lieu du combat, du coin de l’œil, nous apercevons une ombre de l'autre côté de la clairière.
Elle fuit. Elle sait que nous l'avons vu...
Inquiet que ce puisse être l'homme que nous recherchons, nous restons sur nos gardes jusqu'à notre retour en ville.

Nous ne prenons pas le chemin le plus direct pour rentrer et nous faisons même un détour vers un grenier où nous cachons Kurinin.
Avant de la montrer au soldat, nous préférons déjà faire notre rapport et aviser ensuite. 
Notre aura, bien que plus faible, reste cependant toujours visible. C'est pénible.
Mais nous nous rendons quand même au lieu de rendez-vous.

L'homme n'a pas quitté la place principale. Et en nous voyant, celui-ci se lève de sa chaise.
Puis sort son épée.
Il laisse filer entre ses lèvres une insulte que nous ne comprenons pas bien : "Pourritures d'anathème...".
Comprenant que la situation va dégénérer, nous sortons également nos armes. Tant bien que mal, nous essayons d'engager le dialogue avec le soldat mais celui-ci n'a à priori qu'une idée en tête : nous éliminer.

Les hommes du soldat ne nous font pas face directement, préférant nous encercler pour, sous doute, éviter que nous puissions nous enfuir.
Il n'y a qu'une seule sortie possible, et elle barrée par une armure d'une couleur verte émeraude.

Acculée et sous pression, je n'attend pas qu'il fasse le premier mouvement. Je fonce sur lui avec férocité. 
Mais ma force n'est plus aussi spectaculaire qu'elle le fut lorsque nous étions dans la forêt.
Le soldat pare mon attaque et d'un habile coup de poignet, m'envoie dans le bâtiment le plus proche. Le mur ne résiste pas et je m'enfonce dans l'habitation. (Merci les 1 sur les dés )

Le temps de me relever, mes compagnons sont en train d'en découdre avec le soldat. Je profite de son inattention pour lui porter un coup fatal et ainsi le neutraliser. Les hommes du soldat baissent alors leurs armes, ils n'ont pas l'air de vouloir en découdre avec nous. Ils ont peur. Heureusement, car nous sommes vraiment à bout de force...

Alors que je regarde le soldat, je note un remous régulier au niveau de sa poitrine. Il respire encore ! 
J'ai pourtant mis toutes mes forces dans ce dernier coup, et ce qui aurait coupé en deux un homme ne l'a finalement qu’assommer...

Au vu de la foule qui commence à se réunir et les cris en tout genre, nous décidons de quitter la ville, en direction de la forêt. Au passage, nous passons devant le grenier où Kurinin était pour la prendre avec nous.

Une fois arrivé à la lisière de la forêt, nous attachons le soldat à un arbre et mettons ses hommes de côté. Il est facile de les faire obéir. Une peur indescriptible se lit sur leurs visages. 
Ne se réveillant toujours pas, je frappe le soldat pour qu'il émerge enfin de son sommeil. 

Ne sachant pas ce qui nous arrive, nous essayons de récolter le maximum d'informations sur ce qui se passe ici, et pour commencer, ce qui nous arrive. Il nous révèle que nous sommes ce qu'il appelle des "solaires" et que nous sommes l'ennemi juré de tout l'empire...


LA SUITE DEMAIN PLUS TARD